juste moi . qui danse sur les lignes . avec mes mots et mes photos .

" je voudrais partir avec la petite fille dans le train du bonheur "

photo de moi . vue panoramique sur bélem . une ville magnifique du brésil . . .

<donner moi un titre>

j'écoute les red hot chillie pepers . tear . il est 16:05 . le temps s'arrête . le train ralentit . rentre dans la gare . tous les passagers sont appellés à descendre . d'autres à monter . mais la petite fille reste là . à côté d'elle sa valise aussi grande qu'elle . son serre-tête par dessus ses longs cheveux fins et légèrement ondulés au niveau des pointes . elle porte une jupe en jeans et des collants en laine à motifs enfantins . un petit chemiser blanc parsemé de fraises et elle sert fort contre son coeur son nounours . qui à l'air bien plus agé ,qu'elle vu qu'il lui manque un oeil . elle reste là immobile au milieu de la foule . qui se rue hors du train . au milieu de tous ces gens qui s'empressent de grimper dans le train . il arrive que quelques uns la bousculent sans même la remarqué . elle est là mais elle a la sensation de n'exister pour personne . depuis ce jour ou la petite fille attendait juste son papa pour lui tendre le bras . depuis ce jour où ce fut la première fois . la première fois qu'elle était partie son bagage sous le bras. et qu'elle avait rêvé de partir . pour retrouver papa disait-elle . maman n'avait jamais su trouver les mots pour lui dire que papa ne reviendrait pas . peur de briser un coeur fragile . alors la petite fille continuât à ésperer et devînt grande ...chaque fois c'étais un peu pareille . elle se pointait là. elle attendait le train et le laissait partir le visage baigné de larmes . jusqu'au jour où la petite fille devint suffisament grande et beaucoup plus grande que la valise . elle prit le train . celui ou vont les petits enfants devenus de grands enfants . et d'un geste de la main dit au revoir à quelqu'un . ne sachant pas qui , c'étais juste pour faire comme si elle quittait quelquechose . ce jour là la petite fille partie, on ne sait pas vraiment ou . mais ce que l'on sait c'est qu'elle devait être heureuse à présent puisque jamais elle ne revint . aujourd'hui sa mère croit encore qu'elle a disparut . même si elle sait au fond d'elle qu'elle est juste partie dans le train du bonheur . elle est juste allé cueillir son bonheur comme on cueille une fleur dans un prés . cette petite fille s'appellait libertine et ce n'était pas pour rien . vent de libertée . une brise d'air . deux yeux d'une petite fille innocente devenue une grande prématurément . le coeur en or d'une enfant qui aurait vue plus vite que prévue les failles de ce monde ... dans le train de la libertée elle s'est envolé à jamais . peut être qu'aujourd'hui elle nage dans le bonheur et à changer son prénom pour un nom de fleur : lila ou peut être tout simplement qu'elle est toujours aussi malheureuse et que chaque jour elle s'humilie dans la rue portant contre ses seins un petit carton marquée : j'ai faim je suis sans domicile fixe et j'aurais besoin d'une petite pièce pour vivre . libertine c'est comme un papillon elle a brisée son cocon . et elle est partie . se poser sur des fleurs mais nous ne seront jamais vraiment ou elle est . on croit l'avoir retrouvé et elle s'en est déjà allée . libertine est libre et au fond c'est peut être l'essentiel . libre et en vie . un point et c'est finit . une majuscule et c'est repartie . . .

photo de lui

J’étais en train d’essuyer modestement ma vaisselle. quand je me suis mise à penser. à mon dentiste . un dentiste chez moi c’est quelque chose de sacré . oui parce que déjà un dentiste c’est quelqu’un d’intime  . tu imagines lui il te voit à bouche déployée . il voit tes dents et puis tes amidales . rien que d’y penser voilà quoi . je crois même que je pourrais me marier avec mon dentiste . genre si il avait une vingtaine d’année en moins et puis quelques abdos de plus . je lui coupe la bedaine . je le rase de prés . je lui enlève sa blouse blanche et ses lunettes . parce que je me sens mal quand il me regarde de son regard noir . dentiste c’est comme même un métier assez particulier . tu vois les gens dans la rue tu te dis qu’ils sont beaux et tout et puis dés qu’ils ouvrent la bouche . le choc . le rêve qui s’évanouit pour faire place à l’horreur . il en faut du courage pour être dentiste . parce que tu dois pas en voir des belles tous les jours . tu dois même en voir des vertes et des pas mûres . du genre périmé depuis des centaines d’années . du genre les gens qui ont jamais foutus leurs pieds dans un cabiné dentaire et qui viennent parce que la douleur les rappelle à l’ordre . mon mec plus tard je le veux dentiste . et puis je le veux anglais . ça on sait pas trop pourquoi . peut être que c’est pour faire chier mon père . non j’aime bien le style anglais . je prendrais un bon londonien . juste parce que mon paternel quand j’ai sortit ça m’a dit : okay mais un irlandais ou un écossais . rien que pour faire chier mon monde je m’y oppose genre la fille pas chieuse qu’un tout petit peu mais bon  … puis en faites si sa se trouve plus tard mon mec il sera pas dentiste et il sera même pas anglais . non mais c’est vrai je pousse ma gueulante . j’écris ça sans trop savoir pourquoi . parce que ça je me leurre pas je sais que le destin fait ce qu’il veut de ma vie, même si au fond c’est moi qui tient les reines . okay je l’admet sur le coup ce que je viens d’écrire sa veut rien dire . mon esprit de contradiction vient de se remettre en route . et on est pas sortit de l’auberge . mais ou vous êtes tombé ? je ne sais pas trop . bienvenue chez moi . un monde mais chercher pas trop à savoir lequel . qui je suis ? chercher pas trop, parce que même si vous croyez le savoir vous irez toujours de surprises en surprises . je suis celle que je veux bien laisser paraître . parfois la fille calme qui sait que sa la fermer . parfois celle qui est complètement pas nette dans sa tête . parfois celle qui écrit bien . je suis qui je veux bien paraître . ce qui est vrai c’est qu’aujourd’hui je suis malade . et que je suis blanche un peu de la même couleur que mes murs quoi ! je relie mon texte et puis je sais même plus comment on écrit amidales . le correcteur me mettrait bien un « g » dans tout cela mais je sais pas d’où il sort . aucuns rapport avec le point « g » sa c’est sure et certains . oup’s je deviens vulgaire ? on va me prendre pour une fille du genre pas présentable du tout . sa y’est vous croyiez que j’étais quelqu’un de bien et puis j’ai fais tombé le rêve . un peu comme la belle brune en ouvrant sa bouche devant le dentiste . oui là sa fait bien la fanatique du dentiste, qui même une fois qu’elle a finit de parler de lui, ne peux pas s’empêcher de le renommer . avant de clore le texte . ce texte je vais l’enregistrer loin dans mon ordinateur, et puis peut être qu’un jour genre dans 150 ans je le ressortirais . genre j’aurais encore le même ordinateur dans 150 ans , et surtout genre mon disque dur tournera encore . mais bon je dis cela mais je sens que je le ressortirais avant . vous savez quel date on est aujourd’hui ? non moi non plus je ne sais pas . tout ce que je sais c’est que le week-end prochain c'est-à-dire le samedi 3 juin c’est mon anniversaire donc aujourd’hui on est le 29 mai . oui j’ai un petit peu fait exprès de ne pas le savoir, car j’ai donné la date à ma mère ce matin, donc évidemment que je la connaissais déjà . bon je vais clore ce texte sans queue ni tête . mais bon quand une idée me traverse l’esprit . et que ma mère est au téléphone, donc qu’elle va pas me dire que le bruit des doigts qui se cognent aux touches du clavier font trop de bruit . alors dans ce cas là je fais ma fouine et je me hisse ici pour satisfaire mon idée . de temps en temps sa fait du bien . d’écrire les textes qu’on pense . malheureusement je le fais pas tout le temps parce que je pense tellement de textes . parfois je marche dans la rue . et je me raconte une histoire dans la tête . du style gros monologue puisque je me raconte sous forme d’histoire ce que je pense . je vous montre «  je marche dans la rue , je vois ces visages, je ne les connais pas et pourtant j’ai l’impression de sentir leurs malheurs, leurs bonheurs, comme si je faisais parti de leur vie et que rien n’était secret pour moi … » . me suis juste improviser pour vous donnez un petit aperçu de ce que je fais quand je marche dans la rue . exercice de style . attention . faudra que je trouve vraiment une belle photo pour cet article . j’aimerais bien prendre mon dentiste en photo . mais en faites j’ai horreur d’aller chez le dentiste même pour juste des vérifications . donc j’aurai jamais le cran de prendre mon dentiste en photo . je dis que j’aime mon dentiste et pourtant je déteste y aller, et le pire c’est que je ne suis pas une de ces filles traumatisées par les dentistes parce qu’elles en sont déjà à là 3.600^ème caries, à la 10^ème dent arraché, et que les anesthésies elles commencent à connaître ça par cœur . non moi j’ai à mon actif 0 carie, 0 dent arraché, sauf peut être une par un animateur du centre aéré en maternelle, et qu’est ce que j’ai gueulé juste parce que le saignement me terrorisé, la fille pas douillette du tout vous allez vous dire . et puis j’en suis à  0 anesthésies pas d’opérations fin voilà . quand je vais chez le dentiste, j’ouvre la bouche c’est tout . j’ai eu un palet quand j’étais petite, et j’ai pas souffert le martyre, ceux qui ont eu un palet dans leur vie comprendrons ce que je veux dire . qu’à part nous empêcher de prononcer les mots convenablement pendant genre 2 jours, et coincer la nourriture, et aussi nous remettre les dents droites sa fait pas mal du tout . fin personnellement . bon pour un texte qui devrait être finit , je me suis plutôt attardée sur les détails . alors j’y vais . et puis bien sûr je vous embrasse tous surtout celui que j’aime <3

welcome mais pourquoi you're welcome veut dire " de rien " en anglais . alors que " welcome " c'est bienvenue . je fais chié mon monde avec mes questions connes . eh ! oui une conne de plus avec un blog de plus . en faites c'est faut . pour satisfaire vos esprits complexes . ( non pas que le mien le soit pas du tout ) . et bien je vais vous dire je le pense pas du tout que je suis conne . et yop .

une pensée qui s'échappe d'une fênetre juste ouverte . atteinte ou attente de libertée ?